Serge Dulac a commencé à expérimenter le pont avec le champ instinctif en 1990 avec Rebecca, 9 mois avant la naissance de leur fils Lucas. En 30 ans de pratique, Serge a réalisé plus de 9 000 séances à ce jour, dont plus de 6 000 avec Lucas qui avait demandé à son père de le former en 2012 afin de devenir le pont à son tour.

 

Dès lors, Serge et Lucas se sont pleinement impliqués dans le développement de cette méthode unique. Après quelques séances, ils sont devenus de plus en plus motivés pour la pousser plus loin encore ; au départ, il leur a fallu rendre la communication plus efficace, fluide, facile, moins filtrable et plus compréhensible. À partir de la réponse de base « oui » ou « non » au cours des 1 à 200 premières séances, ils ont fait évoluer un langage de signes de 48 codes et finalement, 300 séances plus tard, ils ont atteint leur objectif de faire parler le champ instinctif via la bouche de Lucas ! Il a fallu d’innombrables séances pour que cette communication devienne fluide et permettre de converser avec le champ instinctif.

Par la suite, ils ont commencé à soigner et guérir les patients et le bouche-à-oreille leur a apporté de plus en plus de monde, les poussant à approfondir les possibilités auxquelles ils pouvaient désormais avoir accès. Recevoir la parole du champ instinctif a été la plus grande percée des 24 années de travail que Serge a entreprises.

 

Le champ instinctif pouvant à présent utiliser la parole, Serge et Lucas allaient enfin obtenir des réponses à des questions ouvertes telles que « pourquoi ? », « quand ? », « comment ? » et « qui ? ». Cela leur a permis d’améliorer et d’élargir de façon exponentielle les protocoles de soins qu’ils pouvaient offrir, tout en améliorant constamment ce qu’ils avaient appris et pratiqué sous la direction du champ Instinctif.

 

Le champ instinctif leur a donné des limites précises à respecter pour pouvoir dispenser des soins régulièrement sans être eux-mêmes affectés négativement. Ces limites sont : trois séances par jour, cinq jours par semaine et une pause d'un mois, trois fois par an. Tant qu'ils respectent ces directives, Serge et Lucas sont capables de faire des soins sans prendre de risque. Ils doivent également se soumettre, toutes les six semaines, à des séances de « maintenance » pendant lesquelles ils sont nettoyés de toutes mauvaises énergies et émotions résiduelles susceptibles d’être laissées au cours de leur pratique.

 

Afin d'assurer l’efficacité et la bienfaisance de leurs soins, Serge et Lucas les ont systématiquement testés sur eux-mêmes, parfois durant des semaines, voire plusieurs mois !, avant de les proposer à d'autres.